PRIEZ, MAIS SOYEZ SUR DE VOUS # 2

Voulez-vous prier sincèrement?.  Suite a Priez mais Soyez sur de vous.

Quand Mirdad nous reproche d’être des ingrats qui ne se contentent pas de ce que Dieu nous a déjà donné mais que nous voulons qu’Il fasse notre travail à notre place: Voici un exemple de comment formuler nos propres prières tout en sachant à qui nous nous adressons.

La prière doit être un dialogue entre l’âme et le mental: Le MOI et Le JE. Sans que la langue ne s’en mêle.

Il a bien dit: Quand nous prions et que nous ne nous adressons pas à nous-mêmes qui sommes la demeure de Dieu, toutes les récitations de prières toutes faites sont vaines.

L’exemple de prière de Jésus a été pris non pas comme un exemple ou une formule, mais comme une litanie qui au trois quarts, nous ne sommes pas à même de mettre en application. Il y a beaucoup de vœux qui demandent de la sagesse qui ne s’acquiert qu’avec le temps.

Voici un exemple d’une  prière pour nous inspirer afin que nous commencions à nous débarrasser de tous les résidus des prières toutes faites d’autrui. Ce qui nous a empêché d’atteindre à l’autel de Dieu qui est dans chaque individu.

Mon mental sans défense pleure maintenant pour le darshan – Ta vision.

il n’a pas de patience, il ne connaît pas la paix. Je ne peux ni manger ni dormir, ni rester éveillé,

car à chaque instant je suis hors de moi avec chagrin.

En me séparant de toi, mon Bien-Aimé, je suis agité de douleur,

l’inquiétude me ronge le coeur et me mord comme un serpent.

Que puis-je faire maintenant, mon ami, pour traverser l’océan de l’existence?

Une pensée me consume chaque jour- que mon état empire à chaque instant, oh mon ami, et personne n’est là pour m’aider.

Mon Bien-aimé vit dans le quatrième plan, alors que je languis ici, dans le monde de la mortalité.

Loin du Bien-Aimé,  je souffre énormément et, bien que j’essaie, je ne peux pas suivre le chemin qui me mène à lui.

Sombre et effrayant est le chemin ascendant et personne n’est là pour entendre mes cris de douleur.

Je ne sais pas quoi faire d’autre.

Je me sens démoralisé, car je ne peux pas gagner le cœur de mon Bien-Aimé.
 Mon Bien-aimé peut m’appeler à lui à tout moment, s’il le désire, il peut me tirer en un instant en me tendant la corde de Shabd.     (Le Verbe ou Nom de Dieu)
Comme je suis malheureux-

 Je n’ai pas attrapé la mélodie de Shabd! Je suis en proie à la convoitise, à la colère et à la maya. (L’Illusion).
Je ne peux même pas pratiquer le chemin de Surat Shabd qui m’a été accordé.

Impur du mental, corrompu d’esprit, Je suis impuissant et dégradé à tous points de vue.

Vous êtes tous puissants, Seigneur, et tous Connaissant,

alors que je me tords avec douleur sans toi comme un poisson hors de l’eau.

Aide-moi maintenant, Seigneur! Accomplis ma tâche à moi!

Je m’abandonne, je me sacrifie à toi.

Je suis à votre porte, fatigué et vaincu, pour qui mais vous me protégerez?

Le Seigneur a alors parlé en disant:
Acceptez ma volonté et restez calme.
Ayez de la patience, ayez la foi, je réaliserai le désir de votre coeur.
En entendant ses mots, je me sens calme.

J’ai pris un refuge permanent dans les pieds du Seigneur.

Le Seigneur que nous cherchons à l’extérieur ne se trouve nulle part ailleurs qu’en nous. Socrates a dit: Connais-toi toi-mème, et tu connaîtras l’univers et les dieux.

 

n’oubliez pas Socrate : La théorie des trois passoires en commentaire ci-dessous.

 

1 commentaire

  1. La première passoire est celle de la vérité. Une histoire mérite d’être entendue et partagée si elle est vraie, donc s’il est possible de confirmer sa véracité. Dans le cas contraire, mieux vaut garder le silence.

    La deuxième passoire atteste de la « bonté » ou de la bienveillance de l’information. Si l’histoire fait du bien, qu’elle apporte quelque chose de positif à celui qui l’entend, elle mérite sans doute d’être racontée. Dans un contexte plus moderne, il serait intéressant de se questionner sur l’intention de l’information : l’histoire vise-t-elle à choquer, à faire peur, à convaincre ou à manipuler (propagande) ?

    Enfin, la troisième passoire valide l’utilité de l’information. Socrate aurait demandé à la personne si ce qu’il avait à lui raconter contenait une information utile, et devant une troisième réponse négative, il en aurait conclu que « si ce que tu as à me raconter n’est ni vrai, ni bien, ni utile, à quoi bon m’en parler ? »

    C’est une théorie en apparence simpliste, mais si tout un chacun filtrait ses commentaires et ses affirmations à travers ces trois passoires avant de les rendre publiques, il y aurait certainement moins de désinformation… et probablement aussi beaucoup moins de « bruit » dans les médias sociaux !
    DSP

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