LE BIEN, LE MAL ET LA SOUFFRANCE; ULTIME NÉCESSITÉ DE LA VIE HUMAINE

Aïvanhov a encore raison de dire: le mal existe réellement et n’est vraiment redoutable que pour les faibles et les ignorants;

Le mal n’est pas à confondre avec la souffrance.

La Bible encore, dans le chapitre 5: 7 du livre de Job on lit: « L’homme est né pour souffrir comme une étincelle pour voler. »
Si la souffrance est comparable à une étincelle, alors, elle ne dure pas. Vauvenargues, un philosophe nous dit: Qui sait souffrir peut tout oser». On a dû sûrement le qualifier de  sadique!
Le Bouddha avait passé sa vie à essayer de comprendre le phénomène de la souffrance en vue de sa cessation. Il n’y est pas arrivé.
Le livre de Job s’en était sûrement inspiré pour arriver à poser le problème aussi sûrement.
La conclusion du Buddha était que la souffrance est inhérente à tout être humain, mais il a trouvé une solution qui est: «Si vous voulez atténuer vos souffrances, vous devez vous abstenir de l’infliger à aucun être vivant», car c’est aussi un boomerang que la Bible décrit comme une pierre d’achoppement. (Romain 14 :15-22) Une belle lecture pour vous en convaincre.

Ainsi, entrer dans des cercles initiatiques, déchiffrant des manuscrits anciens ou plongeant dans les profondeurs de la mer et risquer sa vie dans des grottes, des pyramides, des labyrinthes dangereux pour chercher des preuves, est une perte de temps, encore un mérite pour Aïvanhov alors qu’il suffit de savoir entrer en soi pour trouver l’accès à cette troisième dimension où se trouve le laboratoire dynamique, où tout se renouvelle tous les jours.
C’est ce que l’Apôtres Paul décrit comme mourir chaque jour tout en étant vivant.

Mourir chaque jour tout en étant vivant sous-entend que nous renaissons tous les jours ! Que c’est extraordinaire! Ce qui nécessite certainement une connaissance intrinsèque que seul le Bon Berger Vivant a la capacité de transmettre par une forme de: Baptême, Initiation, Onction ou Don, par des instructions simples qui ne contiennent aucun mystères qui méritent d’être seulement appréciés et pratiqués, même un enfant pourrait le faire, parce qu’on n’a pas besoin de; «Plonger dans les profondeurs obscures de son être», comme Aivanhov le reproche bien.
Pour cela, le corps doit être maintenu en bon état, « un esprit saint dans un corps saint »
Par conséquent, il est nécessaire d’;
Arrêtez de tuer les animaux pour les manger si nous ne voulons pas nous imposer leurs fardeaux, ce sont aussi des âmes qui portent leur croix, mais encore plus difficile que nous les hommes. En les tuant pour une simple nourriture, nous les soulageons de leur fardeau, jusqu’à prendre leur place dans une future incarnation si nous avons encore cette opportunité. C’est cela la pierre d’achoppement du verset 20 de Romain 14.

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3 commentaires

  1. Ceci étant dit, nous devons affronter avec confiance, persévérance, humilité et sagesse tous nos problèmes afin de résoudre le problème du bien et du mal. Mais il faut se constituer en équipe ayant les mêmes difficultés et qui cherche consciemment une solution. Sinon, on n’y parviendra pas. Est-ce pourquoi, Jésus nous invite d’abord à l’amour de Dieu et a l’amour mutuel pour que nous nous mettions au-dessus de cette dualité par l’unité de cœur et de volonté à vivre dans l’harmonie suivant les principes universels qui régissent les êtres et les choses.

    1. L’erreur que commet la plupart des gens est de croire qu’il faut attendre ou aider les autres que nous jugeons ont besoin de notre aide pour reconnaître qu’il sont des êtres humains dynamique capable de développer le divin en eux. Le but principale de notre venu dans cette existence terrestre. Nous sommes des êtres spirituels faisant une expérience physique non matérialiste. On ne peut pas juger qui est dans le kindergarten et ceux qui sont très avancés, alors, c’est une utopie de croire qu’on peut aider qui que ce soit. D’ailleurs, il est bien mentionné que: Le salut est personnel. Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est pour nous éviter de perdre un temps précieux qui d’ailleurs est très court pour arriver à ce perfectionnement dont il est question.
      Ne jugez point pour ne pas être juger.

  2. Comme le bien est l’opposé du mal, la souffrance est le contraire du bien-être. Après avoir mangé le fruit défendu, l’homme a découvert l’autre face de la médaille au profit d’une vue complète de son être multidimensionnel. A cet instant, notre conscience avait pris une nouvelle dimension nécessaire à la maitrise de la dure réalité de nos vies lesquelles sont constituées de nos choix conscients ou inconscients. Mais, peut-on considérer pour autant ces concepts comme des nécessités ultimes de la vie humaine ? A mon avis, je dirais qu’ils font partie de l’inévitable qui est issu des échanges que nous faisons sans cesse avec notre environnement externe et interne. Bref, ils sont des indicateurs de la qualité de nos choix, une mesure du pourquoi et du comment notre manière d’être et de sentir à tout moment de la durée.

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