LA CONSCIENCE.Suite et fin

30) C’est le sens des paroles de Jésus déclaré : «Retire-toi, derrière moi, Satan» a été traduit. En réalité, Il a dit : «Retire-toi de moi, limitation», car la limitation n’existe pas, Il l’a écartée de Sa pensée et de Sa conduite car, dans Son état inspiré, de tels obstacles n’avaient nul lieu d’être.

Il voyait à travers le charme hypnotique, à travers le voile dans le temple, et vivait entièrement dans la réalité.

31) Durant le sommeil, la conscience devient totalement universelle. Elle devient le savoir, avec tous les attributs en état d’alerte. C’est pourquoi nous pouvons souvent faire durant notre sommeil ce que nous ne parvenons pas à accomplir quand nous sommes éveillés. Nous refoulons cette réalisation à cause de nos activités extérieures durant le jour. Nous vivons dans une très grande précipitation pendant la journée, de sorte que l’épuisement nous anéantit dès la tombée de la nuit; alors, notre conscience remonte à la surface et revient immédiatement à l’état omniscient.

Nous ne sommes pas conscient de ce qui se passe, mais le sommeil permet à notre conscience totale de s’activer dans le temple, et vivait entièrement dans la réalité.

32) C’est pourquoi la psychanalyse accorde tellement d’importance aux rêves, considérant l’état endormi supérieur à l’état éveillé, à condition d’y avoir recours de façon rationnelle et appropriée. Mais les deux états -la veille et le sommeil – devraient être exactement les mêmes.

Si nous concentrions nos pensées sur cette conscience supérieure, nous serions toujours dans ce royaume. Nous saurions. Le rêve est plutôt un état clairvoyant d’un niveau très bas à moins que nous ne tournions notre esprit vers une conscience ou de connaissance supérieur. Dans ce cas, nos rêves sont toujours authentiques.

ils sont généralement un mélange d’expériences terrestres et spirituelles et, si nos pensées relevaient toujours de cet état de conscience supérieur, nos rêves leurs correspondraient. Nos journées seraient terminées dès que nous nous endormirions.

33) Parfois, quand un homme se trouve face à ce que j’appellerais un mur de pierre, en raison de graves problèmes qu’il  semble ne pas pouvoir résoudre, son état d’épuisement paraît apaiser le monde extérieur et très souvent la solution surgit. Il a seulement poursuivi son mode de vie erroné jusqu’à contracter son être au maximum. C’est exactement comme s’il s’était endormi. La cessation d’activité consécutive à l’épuisement a poussé son esprit à abandonner cet état, et la solution lui est alors apparue.

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