Comédie ou Tragédie?

Une coute vidéo qui véhicule un message catastrophique.

Sous un aspect humoristique, voici une approche plutôt dangereuse.

Cette façon de présenter les écritures pour asseoir une certaine tendance est déplorable.

La Bible n’est pas un livre de roman ni un Manuel de jeux de société , mais, un livre de lois divines immuables.

Toutes tentatives d’ajouter ou de retrancher, voir de s’en moquer sont inacceptable.

Si nous avons mal élevé et mal éduqué nos progénitures des deux sexes , plus particulièrement ceux qui sont du genre masculin, il ne faut pas blâmer les écritures .
Des interprétations malhabiles y sont faites et c’est vraiment désolant.

1 Corinthiens 11:8-9

En effet, l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l’homme; et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme a été créée à cause de l’homme.
Genèse 2:20-22

Et l’homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel et à tous les animaux des champs; mais, pour l’homme, il ne trouva point d’aide semblable à lui. Alors l’Éternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme, qui s’endormit; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L’Éternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme.
Genèse 3:16
Concept des Versets
Il dit à la femme: J’augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi.

Toutes dérogations à ces lois auront des conséquences sur la société et nous les voyons se défiler devant nos yeux 👀 mais, nous continuons dans nos aberrations.

Je concède toutefois, que la Bible n’a pas mis trop d’emphases sur le rôle important de la femme, mais, même là ou elle se prononce, l’homme, les deux sexes confondus, s’arrange pour ne pas en faite grand cas.

Mon constat est que, les plus farouches détracteurs de la Vierge Marie en tant que mère de Jésus sont en majeures parties, les femmes. (Protestantes surtout)

Regardez cette approche combien éclairante:

Marie dit alors : « Oui, désormais, toutes les générations me diront bienheureuse ! » (Lc 1,46.48). Plus de deux mille ans après l’événement de la Nativité de Notre Seigneur Jésus Christ, ils sont des dizaines de centaines, des centaines de milliers, des milliers de millions et des millions de myriades (Ap 7,9) dans l’Eglise terrestre comme dans l’Église céleste, à suivre les pas de la Sainte Vierge Marie. Que ce soit sur les chemins des pèlerinages à son intention, ou autour des sanctuaires, à elle, consacrés, au cœur des chapelles dédiées à ses solennités, celle que le Concile d’Éphèse en 431 appelle du beau nom de « Theotokos », La Mère de Dieu , est aimée, révérée ou vénérée, implorée par des croyants du monde entier. Comme si, sous nos yeux et à notre époque, se réalisait la parole prophétique qu’elle avait dite alors : « toutes les générations me diront bienheureuse. » Le contexte de proclamation de ce verset est historiquement et théologiquement celui de « aurore de la Rédemption ». Lorsqu’en effet, dans la Maison de Zacharie, (Lc 1,40) éclate la jubilation contagieuse des cousines, Marie et Élizabeth, il y a comme une Pentecôte anticipée dans les cœurs. C’est justement sous la mouvance de l’Esprit Saint qu’elle déclare : « toutes les générations me diront bienheureuse. » Il faut préciser que cette béatitude, la Sainte Vierge ne se l’attribue guère dans une auto contemplation ou une auto-centration sur ses propres mérites. Du « fiat » de l’Annonciation au Magnificat de la Visitation, la Sainte Vierge n’a de cesse de se présenter comme l’humble Servante du Seigneur. Elle est bienheureuse en raison de Celui dont elle est enceinte : Jésus, le Christ. Ce qualificatif « heureux ou bienheureux » dans le contexte biblique est un cri de félicitations à l’adresse de celui ou celle qui, ayant mis à profit, les dons de Dieu, éprouve dès à présent un certain bonheur, une félicité certaine et qui, restant fidèle à la parole donnée, sera déclaré juste lors du Jugement. (Ps 1, Ps 141).Ce terme « heureux ou bienheureux » est aussi une célébration joyeuse de la fécondité maternelle. Voilà pourquoi d’ailleurs, la proclamation de La Vierge rappelle celle de Léa qui, dans le Livre de la Genèse, se réjouit de la naissance de Asher, la fille de sa servante Zilpa, lorsqu’elle déclare : « Les femmes me féliciteront ». (Gn10,13). Mais si toutes les générations la célèbrent, comme bienheureuse c’est parce qu’elle a cru à l’accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur. (Lc 1,45). C’est ainsi qu’elle participe à toute l’œuvre de Dieu. Elle est Mère partout où Jésus est Sauveur et Tête du Corps Mystique. Bienheureuse donc Elle est, la Sainte Vierge parce qu’elle est par sa Conception Immaculée, « la fiancée toute resplendissante, sans tache, ni ride (Eph 5,26). Bienheureuse, Elle est, la Sainte Vierge parce qu’en elle le Verbe Eternel, La Parole a pris chair de notre chair. Or le Ciel et la terre passeront, la Parole de Dieu ne passera pas. (Mt 5,18). Bienheureuse Elle est ! Parce que d’Elle sont vrais les mots de l’auteur sacré : « c’est une grâce inestimable qu’une femme sainte » (Si 26,19). En Elle, culminent et s’illuminent les grandes figures de la Féminité. Elle est remarquable comme Abigaïl. (1 Sm25, 3-39) Visionnaire comme la prophétesse Anne. (Lc 2,36). Enveloppée de miséricorde comme Ruth. Remplie de détermination contre le Mal comme Judith. (Jdt 9,1ss). (Lc 1,38) Avocate et Auxiliatrice (Jn 2,1-5) « Hodoghitria » c’est-à-dire « Celle qui montre le Chemin » (Lc 1,39). La liturgie Byzantine chante « l Épouse inépousée » mais aussi la Mère du Christ et de l’Église. La Nouvelle Eve qui est montée au Ciel dans le mystère de l’Assomption : Solennité de vie et de paix, d’amour et d’espérance , de joie et de miséricorde qu’élève et surélève nos cœurs et corps d’allégresse fraternelle et filiale.


Vierge Marie Mère du Christ, Notre Sauveur.
Tu as enfanté le Fils du Père Éternel
Grâce à ton fiat au salut de l’ange Gabriel
Par lequel tu répondis à Dieu de tout cœur.
Bénie sois-tu ! Ô Mère au cœur immaculé.
Viennent sur nous les grâces du Dieu révélé.
Nous voici rassemblés de divers horizons
Pour célébrer et proclamer par tous nos chants
Notre action de grâce dans la joie et la foi
Au Dieu d’Amour de qui nous viennent tous les dons.
Et Lui confier tous nos engagements par Toi.
Puisque tu intercèdes pour nous ses enfants.
Fille de Sion et Fleur de notre Terre
Regarde notre Humanité tout entière
Pour recueillir en Toi, Ô vase honorable,
Les bourgeons de vie et d’amours ineffables
Qui fleuriront aux chemins de nos lendemains
Sous les pluies de grâce de nos efforts humains.
À l’heure ultime aux abîmes du Golgotha
Ta foi, ton amour n’ont pas cédé d’un iota.
Aujourd’hui comme à l’aube de Pentecôte
Tu restes toujours et encore notre Hôte.
Et si parfois nos cœurs viennent à chanceler
Daigne intercéder pour nous et nous stimuler.
Ô Reine des Nations, Toi la Nouvelle Eve
Tu sais très bien que notre humaine Nature
Bien que faite à la ressemblance de Dieu
N’est pourtant plus sans fracture ni rature.
Viens réveiller tous ceux qui cèdent aux ténèbres.
Que brille sur eux l’Astre du Père des Cieux.
Ave, Ave, Ave Mater dolorosa !
Affermis nos pas sur la Via Gloriosa
Pour courir de la vraie Paix le saint marathon
Jusqu’à passer du Saint Royaume le fronton
Là où le soleil du bonheur est sans déclin
Là où les siècles ne connaissent point de fin.

J’ai démontré dans mon texte : Homme, Femme/ Amour et Sagesse,

là ou le mouvement de libération de la femme a commencé, comment c’est un faux problème et les malheurs que cela engendre dans notre société.

Je vois pourquoi la société avait privilégié aux hommes de faire de hautes études. La femme ayant été deja dotée des atouts majeures tout naturellement, La spontanéité, la sensibilité et l’amour qui la rendait plus intelligente au départ , que l’âme enfouis dans un corps masculin brute , qui devait non seulement faire plus d’efforts pour son perfectionnement mais avait besoin de l’apport de la femme pour y parvenir. Donc, la femme n’avait nullement besoin d’aller s’encombrer l’esprit de logique, ce qui la ferait perdre ce grand pouvoir et ainsi amener l’homme mâle à la perdition aussi bien, c’est malheureusement notre constat actuel.

Il y a une analogie très simple à ce que je viens de mentionner.
La femme est comme quelqu’un qui a hérité d’une fortune, qui va à la banque donner cette fortune en collatéral parce qu’on lui promet des intérêts . Elle accepte de prendre le même montant sinon moindre contre son avoir en payant des intérêts équivalents à cent fois plus que qu’elle recevrait sur sa fortune.

Ca s’appelle du marketing ou attrape nigaud. Dans les relations financières,
mais, elle ne marche pas pour les choses spirituelles.

Puisque n’ayant plus la possibilité de complémentarité que la logique lui aura enlevé, (a la femme) ce que l’homme a besoin pour son épanouissement total, cette sagesse qu’il est venu acquérir pour le bénéfice des deux ; homme et femme qui deviendrait alors qu’une seule chaire.
Voir mon article: Homme, Femme ou Âmes Jumelles.

Tou ceci pour vous dire que:
Cette comédie doit resté dans sa sphère et ne devrait pas être pris au sérieux.

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