Affranchissez-vous donc !

Alors BOUM, le voici ici, maintenant – TOUT CELA !
Q- Il n’y a ni début ni fin à cela. C’est tout simplement EST.
Dieu-C’est au sein de l’unité que réside votre expérience – et votre plus grand secret. Vous pouvez vous déplacer en conscience au sein de l’Être vers n’importe quel
« moment » ou « lieu » de votre choix.
Q- Tu veux dire qu’on peut voyager dans le temps ?
Dieu-En effet, et beaucoup d’entre vous l’ont fait. En fait, vous l’avez tous fait – et vous le faites régulièrement, généralement dans ce que vous appelez votre état de rêve.
La plupart d’entre vous n’en sont pas conscients. Vous ne pouvez pas conserver la conscience. Mais l’énergie vous colle comme de la colle, et parfois il y a suffisamment de résidus pour que d’autres, sensibles à cette énergie, puissent capter des informations sur votre
« passé » ou votre « avenir ». Ils ressentent ou « lisent » ce résidu, et vous les appelez des voyants et des médiums. Parfois, il y a suffisamment de résidus pour que même vous, dans votre conscience limitée, soyez conscient que vous êtes « venu ici auparavant. » Votre être tout entier est soudainement secoué par la réalisation que vous avez « déjà fait tout cela » !
Oui.
Ou ce sentiment merveilleux lorsque vous rencontrez quelqu’un que vous connaissez depuis toujours, depuis toujours !
C’est une sensation spectaculaire. C’est une sensation merveilleuse. Et c’est un vrai sentiment. Vous connaissez cette âme depuis toujours !
Q- Pour toujours, c’est maintenant !
Ainsi, vous avez souvent levé les yeux, ou baissé les yeux, depuis votre « morceau de papier » sur le fuseau, et vu tous les autres morceaux ! Et vous vous y êtes vu parce qu’une partie de Vous est sur chaque pièce !
Q- Comment est-ce possible?
Dieu-Je vous dis ceci : vous l’avez toujours été, vous l’êtes maintenant et vous le serez toujours. Il n’y a jamais eu un moment où vous ne l’êtes pas – et il n’y aura jamais un tel moment.
Q- Mais attendez! Qu’en est-il du concept de vieilles âmes !
Q- Certaines âmes ne sont-elles pas « plus vieilles » que d’autres ?
Dieu-Rien n’est « plus vieux » que tout.
Je l’ai créé TOUT À LA FOIS, et tout existe maintenant.
L’expérience des « plus âgés » et des « jeunes » à laquelle vous faites référence a à voir avec les niveaux de conscience d’une âme particulière, ou Aspect de l’Être. Vous êtes tous des aspects de l’être, simplement des parties de ce qui est. Chaque partie contient la conscience du Tout. Chaque élément porte l’empreinte.
La « conscience » est l’expérience de l’éveil de cette conscience. L’aspect individuel du TOUT prend conscience de lui-même. Cela devient, littéralement, conscient de soi.
Puis, progressivement, il devient conscient de tous les autres, puis du fait qu’il n’y en a pas d’autres et que tout est Un.
Puis, finalement, de Moi. Magnifique moi !
Q-Garçon, tu t’aimes vraiment, n’est-ce pas ?
N’est-ce pas ?
Oui oui! Je pense que tu es génial !
Je suis d’accord. Et je pense que tu es génial ! C’est le seul endroit où toi et moi ne sommes pas d’accord. Tu ne penses pas que tu es génial !
Q- Comment puis-je me considérer grand quand je vois toutes mes faiblesses, toutes mes erreurs, tout mon mal ?
Dieu- Je vous le dis : il n’y a pas de mal !
Q J’aimerais que cela puisse être vrai.
Vous êtes parfait, tel que vous êtes.
Q J’aimerais que cela puisse être vrai aussi.
Dieu-C’est vrai! Un arbre n’est pas moins parfait parce qu’il s’agit d’un semis. Un petit bébé n’est pas moins parfait qu’un adulte. C’est la perfection elle-même. Parce qu’il ne peut rien faire, qu’il ne sait rien, cela ne le rend pas pour autant moins parfait.
Un enfant fait des erreurs. Il se tient debout. Il trottine. Il tombe. Il se relève, un peu bancale, accrochée à la jambe de sa maman. Est-ce que cela rend l’enfant imparfait ?
Je vous dis que c’est tout le contraire ! Cet enfant est la perfection même, tout à fait adorable. Et vous aussi.
Q- Mais l’enfant n’a rien fait de mal ! L’enfant a consciemment désobéi, blessé autrui, s’est blessé.
Dieu-L’enfant ne distingue pas le bien du mal. Précisément.
Toi non plus.
Q- Mais je fais. Je sais que c’est mal de tuer des gens et que c’est bien de les aimer. Je sais que c’est mal de blesser et bien de guérir, d’améliorer les choses. Je sais que c’est mal de prendre ce qui ne m’appartient pas, d’en utiliser un autre, d’être malhonnête.
Je pourrais vous montrer des cas où chacun de ces « torts » serait justifié.
Dieu-Tu joues avec moi maintenant.
Q Pas du tout. Simplement être factuel.
Q-Si vous dites qu’il y a des exceptions à chaque règle, alors je suis d’accord.
Dieu-S’il y a des exceptions à une règle, alors ce n’est pas une règle.
Q Êtes-vous en train de me dire qu’il n’est pas mal de tuer, de blesser, de prendre à autrui ?
Dieu-Cela dépend de ce que vous essayez de faire.
Q- D’accord, d’accord, je comprends. Mais cela ne rend pas ces choses bonnes. Parfois, il faut faire de mauvaises choses pour arriver à une bonne fin.
Dieu-Ce qui n’en fait pas du tout de « mauvaises choses », n’est-ce pas ? Ce ne sont que des moyens pour parvenir à une fin.
Q- Êtes-vous en train de dire que la fin justifie les moyens ?
Q- Qu’en penses-tu?
Non, absolument pas.
Q- Ainsi soit-il.

2 commentaires

  1. L’homme créé crée sa propre réalité par la pratique des valeurs auxquelles il adhère afin de composer avec les exigences de l’ère

    Depuis qu’il est devenu un être conscient et pensant, l’homme est subjugué devant les grandes interrogations existentielles sur le pourquoi, le quand, le comment et le qui à l’origine du microcosme dont il est devenu dans un macrocosme fait de merveilles sans pareilles et qui le tiennent en éveil à merveille

    Cette conversation avec Dieu est une auto psychanalyse de l’auteur dans ses efforts à se libérer des chaînes de ses multiples réflexions en rapport avec des concepts aux préceptes très complexes tissant la toile de fond d’une humanité fonctionnant en duplex

    En dépit de notre ambiance mentale exprimée dans toutes les annales des histoires transmises à l’écrit ou à l’oral, nous évoluons dans un univers où tout se déroule dans une harmonie parfaite pour que la vie puisse s’épanouir à l’infini

    Le bien et le mal n’existe pas dans l’ordre universel des choses qui soutiennent toutes les existences à l’aide des oscillations d’une balance oscillant toujours avec un équilibre précis

    Ils sont des concepts créés en réflexe par l’homme perplexe devant la perfection des conditions de son existence et les exigences qu’il a de vivre en conformité avec les lois qui régulent son espace vital

    Quand il enfreint un principe, la nature réagit pour rétablir l’ordre originel et cela entraîne des pertes, des souffrances, des privations ou même des réductions de possibilités qu’a l’homme pour évoluer

    Au lieu de chercher à se conformer aux normes pour pouvoir conserver son bien-être, l’homme persiste à agir comme bon lui semble tout en cherchant sans cesse à justifier leur choix de vie en désaccord avec l’harmonie universelle

    Ce dialogue contradictoire est un cri de nos déboires depuis le soir où nous avons choisi de mener une existence en dehors des principes du Dieu de gloire

    Œil pour oiel et dent pour dent n’est pas une loi mais plus une conséquence subie par tous ceux-là qui ne respectent pas les lois établies par le Dieu de gloire

    Merci mon ami pour cette contribution dans le travail de rééducation des autres

    1. Merci Jimmy .
      Encore une belle analyse. Je vais continuer à t’envoyer d’autres chapitres du Dialogue qui ne soulèvent pas de controverses comme ces deux chapitres qui a pour but de démystifier les conventions que nous crayons et que nous voulons attribuer à Dieu justes pour nous entrechoquer jusqu’à nous faire la guerre , et tout ceci au nom de Dieu.
      L’homme, pour sortir de son état d’homme est prêt à faire n’importe quel sacrifice.
      Il devient intransigeant même envers lui-même et part en guerre contre tout ce qu’il croit l’empêcher de se libérer du cachot que représente le corps physique dans un monde à trois dimensions qu’il devra maîtriser afin de se libérer .
      Cette conversation est une belle inspiration qui, si prise dans le respect que l’on se doit d’exercer les uns envers les autres, dont certains sert de marchent d’escaliers pour permettre à d’autres de parvenir aux sommet jusqu’à trouver la seule issue de sortie pour triompher des plans d’existences hors de sa source originelle.

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